Le blog de Nicolas

      Me revoila, désolé pour la longue absence mais les travaux continus, l'appareil photo n'est pas toujours de la partie, de plus l'avancée n'est pas spectaculaire, beaucoup de temps passé pour rien de bien voyant mais place aux photos.

Comme vous pouvez le voir, les poutres du plancher ont disparues, merci à Julien pour son après midi passé à jouer de la tronçonneuse. Le père enlève les croutons pendant que je joue de la pioche dans la roche pour faire une fondation pour un pilier de soutien qui servira par la meme occasion à un appuis de muralière coté route.

Oui bon d'accord la qualité de la photo n'est pas terrible mais le soleil donne en plein dans l'trou, de toute façon il est pas finis de creusé, pas besoin d'aller bien profond, le sol c'est tout de la caillasse.

Sur cette photo on peut voir l'étai bleu (celui derrière l'escabeau) qui soutien le moral d'un linteau bien fatigué.

La poutre centrale est elle aussi vermoulue, mais ça depuis un bout de temps puisque là aussi il y a un soutien mais en pierre celui ci

(on peut appercevoir les p'tits trous des bestiaux)

Voila tout pour le moment mais ça devrait avancer plus vite vu que je suis en congé.

à bientot

     Petite journée au martoret aujourd'hui, dépose des tomettes, pieds de bibiche, massettes, burins, binouze et hop, c'est parti pour 4 petites heures de boulot, avec l'aide du père et du beau frère.

Notre toboggan à tomettes avec la tete du receptionniste dans le trou (le reste du corp est sous la tete mais il est caché, prennez pas peur).

le champs de bataille... après la bataille.

et les victimes de la journée qui seront expatriées chez Mr le cousin.

Week end prochain c'est pioche, pelle, camion benne, transpiration et binouze pour enlever l'espèce de sable/chaux qu'il y avait sous les madames carrées.

       Après une longue absence, j'apporte du nouveau, le plancher du 1er est terminé.

Les plaques OSB3 sont collées entre elles, posées puis visées sur les solives.

les appuis muralière coté cour arrière

Le détail des muralières, une coupe en sifflet pour répartir l'effort, et oui elle fait plus de 6m de long donc c'est un ensemble de bastaing.

   1ere travée finis, il faut attaquer les muralières pour poser les deux autres travées.

Donc on commence coté cheminée avec un puzzle de bastaing et visserie

Il faut percer de plusieurs diamètre différents pour pouvoir noyer les les tetes de vis, 20mm pour les vis et 51mm pour les rondelles sur 18mm de profondeur.

Avec le trellis, toute cette partie est noyée dans le béton qui est coulé par un trou fait dans la cheminée

Et une fois en place, calée de niveau, 13 sceaux de béton bien humide pour bien tassé de partout, Deux niveaux de trellis et voila, ce week end on sera bon pour poser les deux autres morceaux de muralière et après hop hop hop, RE solives, RE plaques OSB et le deuxième tiers sera OK.

    Et bien il a guère fallu de temps au livreur pour manoeuvrer son plateau de 12m et nous poser les IPE dans la cour, 2/4 heure en tout ( si si, ça ce dit).

(on voit pas très bien le visage du mec, c'est parce qu'il est très poilu du nez)

Bon, c'est pas tout de le regarder bosser, va falloir si mettre aussi. Après avoir trainé les poutres à l'intérieur, posées sur des moellons, sanglées, accrochées au palan, l'instant fatidique...

c'est bon, la faitière supporte le poids!!! (en meme temps je me faisais pas trop de souci, vu la section de la panne et le poids presque ridicule de poutres (à peine 170kg chacune ).

On finiole un peu la mise en place et hop!

TADAMMM!!! la première est posée

puis vient le tour de la deuxième, on s'est mal démerdé, pas mise dans la bonne diagonale, ce qui fait qu'on l'a reposée au sol puis relevée en ayant pris soin de la tourner de sens, résulat de la boulette, perdu 2/4 d'heure (ça ce dit toujours) et failli ce prendre un IPE dans la face (qui n'est pas aussi poilue que celle du livreur).

Dans tous les cas, elle est posée et avec la meme rigueur de finition

et vous savez quoi?

c'est magnifiquement de niveau, comme quoi, passer du temps pour prendre et tracer les mesures, c'est jamais du temps de perdu, parce qu'on s'y retrouve à la fin (oui je suis un bon bourguignon, j'y mets des Y de partout).

Puis vient le temps de tester la flexion de la poutre

Bon ça va aller, ça bouge pas d'un poil de cul de schtroumpfs.

Prochaine épisode, les muralières, on va bien s'amuser